Bruno, Moniteur D’Auto-École (Épilogue).

Ce matin-là, le ciel était couvert et une légère bruine s’abattait sur la ville et les villages alentours. En sortant de chez elle, comme chaque samedi matin, Virginie s’empressa d’aller prendre le bus pour se rendre à l’agence auto-école. La belle avait hésité sur sa tenue. Elle opta pour un pull en laine et une jupe longue. Les températures à l’extérieur avaient chuté de quelques degrés. Nous arrivions à la fin septembre.

A l’agence, Virginie retrouva Nono. Il était moins vif et moins souriant que d’habitude, moins alerte. Virginie mit cette impression sur le compte de la météo, grisâtre ce jour-là. Bob était à Paris, en cours de Management et ne rentrait pas avant midi.

- Bonjour ! dit Virginie en se présentant à l’agence. Bruno est là ?
- Il ne va pas tarder à arriver. C’est pour ton cours ? lui assura-t-on.
- Oui ! répondit la belle.

A l’agence, personne, pratiquement, savait ou se doutait de la relation suivie et poussée entre Virginie et Bruno. Virginie gardait le secret aussi bien qu’une femme pouvait le faire ; et Bruno sans doute en fit de même. Toutefois, il y avait un moniteur, souvent froid et taciturne avec les gens et avec Virginie en particulier, qui semblait plus que tout autre, savoir quelque chose. Il est difficile à dire si Bruno lui avait confessé quelque chose ; ou si l’homme par lui-même se doutait bien de la relation de son confrère avec la belle.

Dans l’agence, ils étaient trois ou quatre moniteurs réguliers dont une femme qui se relayaient à trois voitures, pour les cours. Il y en avait toujours un qui restait à l’agence pour accueillir le public, pour les leçons de code en particulier. Les autres, pendant ce temps, étaient en conduite.

Virginie, ce matin-là retrouva donc Bruno sans problème pour une nouvelle leçon de conduite.
- Ça va ? s’enquit Bruno auprès de ma belle avec un sourire ravageur qui en disait long encore sur ses intentions ou ses pensées.


- Humm, je vois que tu vas mieux ! Je croyais que tu me faisais la tête, répondit Virginie.
- Moi ? Non, aucunement ! ajouta l’homme, sûr de lui.

Bruno, dans la voiture était content de retrouver Virginie pour une nouvelle leçon. En arrivant à l’agence, Virginie l’avait trouvé d’humeur maussade et préoccupé. Dans la voiture, à ses côtés, elle se retrouvait rassurée.

- Où va-t-on ? demanda la belle, après avoir fait les réglages de son siège et des rétroviseurs intérieur et extérieurs.
- Tu vas prendre l’avenue du Général Leclerc. Ensuite, je t’indiquerais la route.

Virginie commençait â être à l’aise sur la route malgré les longues pauses que Nono lui imposait durant ses heures. La belle s’approchait des vingt heures de conduite. Elle roulait en ville comme en campagne et avait même fait un essai sur autoroute. Bruno trouva qu’elle progressa assez vite.

- Elle est sympa ta jupe ! dit-il à Virginie en pleine conduite.
- Oui, c’est ma mère qui me l’achetée. Elle l’a trouvée dans une boutique en solde sur Paris.
- Je la trouve très chic.
- Oui, je l’aime bien ! rajouta la Belle.

Bruno regardait Virginie avec envie et passion. Il se voyait bien la soulever là encore une fois dans la voiture sur un parking en bordure de forêt. La fellation, la sodomie, rien encore n’avait exténué le désir qu’il avait pour elle. Dans l’habitacle, il contemplait la bouche et les cheveux de ma belle. D’un regard, il contempla et jaugea la tenue de ma chérie et sa façon de se tenir. La belle était gracieuse. Une grâce que Bruno avait reconnue chez de nombreuses femmes avant elle. Virginie, néanmoins, avait quelque chose de plus, qu’il ne savait pas définir. Une sorte de sex-appeal qui le rendait fou de désir pour elle.

A ses fins, Bruno emmena donc une nouvelle fois Virginie sur le parking de la petite forêt environnante, pour un instant de pause entre discussions sur la conduite et les amours, disons plutôt le sexe.
La belle n’était pas la dernière pour en discuter et Bruno aimait bien cela. L’homme, en effet, était curieux. Il voulait tout savoir de Virginie. Ses envies, ses intentions, son mec, etc. La belle était pour lui un mystère de la nature. Il la trouvait jolie, charmeuse, belle à souhait, mais aussi un peu soumise et étrangement réservée.

Virginie avoua à Bruno que Bob était son premier amour. L’homme eut soudain un sourire réjoui que la belle ne sut interpréter :
- Comment une fille aussi jolie peut-elle n’avoir connu qu’un seul mec dans sa vie ? A 22 ans ! demanda Bruno.
- Je ne sais pas, fit Virginie avec une grande timidité comme si elle voulait immédiatement se faire consoler par lui.

Virginie en réalité ne trouva pas cela anormal et fit comprendre à Bruno qu’elle était très heureuse avec Bob et que cela se passait très bien au lit avec lui. Bruno en douta :
- Tu dis cela mais il ne t’a jamais sodomisé avant moi. Moi, je l’ai fait ! précisa Bruno.
- C’est vrai, ajouta la belle, mais je l’aime. C’est mon chéri, c’est tout.
- Mouais ! répondit Bruno, sans être totalement convaincu. Moi, je crois que tu l’aime mais qu’il ne te satisfait pas pleinement sur le plan sexuel. Je me trompe ?

Virginie était gênée de devoir répondre à cette question :
- Bon, si on passait à autre chose, rétorqua la belle. Je te signale que ma mère paye mes heures de conduite.
- Oui, c’est vrai. C’est hilarant comme histoire : la mère paye des cours de conduite à sa fille pour qu’elle se fasse sauter ! ajouta Bruno.
Virginie ne savait pas quoi répondre à ça.

- Ton compagnon, tu le suces vraiment cinq fois par jour ? ajouta Bruno.
- Je te l’ai dit. Oui, ça m’est arrivé ! acquiesça Virginie avec timidité.
- Et tu avales ?
- Oui. La première fois, c’est même moi qui ai voulu.
- T’es sérieuse ?
- Oui, lui ne voulait pas. Il trouvait cela trop vulgaire et disait que s’il devait faire cela un jour, il le ferait sans moi.

- Ah bon ? s’étonna Bruno.
- Oui, il disait que j’étais trop bien pour ça. Du coup, un jour, je l’ai pris dans ma bouche et je l’ai gardé.
- Ah, carrément !

Virginie expliqua à Bruno quelles étaient ses pratiques avec Bob. Bruno voulait tout savoir. Les positions réalisées, les lieux, les endroits, les circonstances, le nombre de fois… Virginie aurait pu lui en raconter pendant des heures et des heures. La belle aussi s’intéressa à lui mais l’homme semblait être plus secret. A ses dires, il n’était pas marié et n’avait personne en ce moment dans sa vie. Il habitait un deux pièces dans la ville voisine que Virginie connaissait pour s’y être rendu une fois.

Dans l’habitacle, alors que la pluie se mettait à battre plus fort, Nono eut soudain envie d’elle. Il prit la belle dans ses bras qui ne se refusa pas à lui.
- C’est pour toi, tu sais, que j’ai mis cette jupe ce matin, lui fit remarque la belle.

Nono dédaigna de répondre à la belle qui avait revêtu également un collant noir parce qu’il faisait froid à l’extérieur. En remontant la jupe, il trouva cependant Virginie très sexy et lui en fit le compliment. Dans l’habitacle, la belle retira ses chaussures puis son collant qu’elle roula en boule avant de le laisser choir dans un coin de la voiture. Si tôt fait, elle vint se positionner à califourchon sur Nono pour l’embrasser. Elle prit son visage entre ses mains. L’homme l’embrassa à pleine bouche. Leurs langues se mélangèrent comme ça, un court instant. La buée commençait à paraitre sur les vitres de l’habitacle.

Bruno posa sens mains sur les hanches et la taille de ma chérie. Ses mains parcouraient son corps comme pour mieux apprécier les courbes voluptueuses de ma belle. Virginie décida de prendre rapidement les devants. Discrètement, elle glissa ses mains sur le ceinturon de Bruno. L’homme regardait faire la belle avec une sérénité affichée. La belle le déshabilla. Il l’aida à retirer son jeans.


Virginie se glissa alors à ses pieds en s’installant du mieux possible entre les jambes de son hôte. Elle savait et comprenait ce que Bruno voulait. Elle s’agenouilla devant lui. Derrière elle, les pédales avant de la double commande du véhicule la gênaient. Bruno recula son siège et le bascula légèrement en arrière. Allongé confortablement sur le dos, il regarda ma belle se saisir de son sexe et le caresser de haut en bas. Bruno avait une verge magnifique. Son sexe devait faire dans les dix-huit ou vingt centimètres, soit trois ou quatre centimètres de plus que celui de Bob. La belle s’en saisit, espérant cette fois arriver à ses fins. Doucement, elle prit donc la verge de Bruno dans sa bouche ; la suça puis la lécha de haut en bas, délicatement toujours, en regardant l’homme dans les yeux en lui disant : « tu aimes ? »

Virginie voulait donner à Bruno un plaisir qu’elle ne lui avait encore jamais donné jusque-là. Elle voulait donner à l’homme une caresse dont elle seule avait le secret. C’était sa façon de le remercier pour tout l’amour et le plaisir qu’il lui donna. Bruno regarda ma belle avec gourmandise. Virginie caressa le chibre majestueux de son hôte puis le réintroduisit délicatement dans sa bouche. Elle le suça en faisant tourner doucement à l’intérieur de sa bouche sa langue d’abord sur le gland puis sur tout le sexe, dans la longueur. L’homme était dans un état de ravissement sans pareil. Ma belle écarta ses cheveux en les passant avec sa main délicatement derrière les oreilles. Bruno, voyeur dans l’âme, ne manqua pas une seule seconde de ce florilège de spectacle.

Pendant quinze minutes au moins, ma belle suça ainsi Bruno dans l’habitacle de la voiture. Virginie se cramponna tantôt aux cuisses de Bruno pour sucer de plus belle, et de plus en plus fort, le sexe de son amant bien-aimé. L’homme était rasé sur la totalité de son sexe et de son pubis. Virginie aimait bien cela et trouvait cela original. La belle appuya ses coudes puis les mains sur le bord du siège avant. Bruno la prit par les cheveux et accéléra la cadence. Il baisait littéralement la bouche de ma dulcinée. Il allait si vite que ma chérie manqua plusieurs fois de s’.

La queue de Bruno était luisante salive. Virginie regardait Bruno dans les yeux comme pour voir quelle était sa réaction. L’homme en voulait toujours plus et imposa à ma belle un rythme effréné qui ne cessa pas :
- Oh ! prends-moi bien à fond, je vais jouir ! interjeta Bruno.

L’homme poussa un « Oh ! putain, c’est bon ! » et enfonça son sexe au plus profond de la bouche de ma chérie. En décidant de sucer Bruno, Virginie espérait être la maitresse du jeu sur toute la ligne, espérant boire, du moins gouter et avaler le sperme de son hôte. Elle n’imaginait pas cependant que l’homme serait si entreprenant. Elle l’espérait, en cachette. Sans y songer, elle se retrouvait dominée par Bruno. L’homme, pour le coup, avait l’intention de jouir dans la bouche de ma belle. Il arriva dans un râle de plaisir…

A suivre…

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